5 questions sur SecOps dans le secteur de la santé

2. Quels sont quelques exemples de bonnes pratiques SecOps dans le domaine de la santé ?

SecOps aide les soins de santé à faire face aux problèmes de sécurité présentés par les soins virtuels, les systèmes hérités, les différents niveaux de sécurité des postes de travail, etc. Par exemple, les dossiers de santé électroniques, les systèmes de laboratoire et d’imagerie doivent être tenus à jour et corrigés, mais il est difficile d’établir des priorités. SecOps automatise la gestion des correctifs, éliminant l’examen manuel fastidieux des opérations tout en garantissant que les vulnérabilités connues ne peuvent pas être exploitées.

3. Comment l’automatisation peut-elle prendre en charge SecOps ?

L’automatisation des processus de sécurité peut aider les équipes surchargées et en sous-effectif à suivre les meilleures pratiques, garantissant que les outils et les processus sont appliqués de manière cohérente, reproductible et fiable. L’analyse automatisée des incidents, l’évaluation des risques, la hiérarchisation des menaces et l’accélération de la réponse et de la résolution complètent le travail des analystes de la sécurité humaine.

4. Comment une approche DevSecOps peut-elle aider les organisations de santé ?

DevSecOps va encore plus loin en matière de SecOps, garantissant que la sécurité est intégrée au logiciel. DevSecOps améliore la sécurité tout au long du processus de livraison de logiciels et renforce les liens entre les équipes de développement, de sécurité et d’exploitation. L’approche DevSecOps permet aux équipes de sécurité d’évoluer, avec des responsabilités réparties dans l’ensemble de l’organisation.

5. Quels devraient être les principaux domaines d’application d’une équipe SecOps ?

Une équipe SecOps comprend cinq rôles clés : intervenant en cas d’incident, enquêteur de sécurité, analyste de sécurité avancé, ingénieur/architecte de sécurité et responsable du centre des opérations de sécurité, le centre de commandement de l’équipe. Certaines organisations choisissent de déployer un SOC virtuel, externalisant certaines responsabilités. Les organisations peuvent migrer les employés vers des rôles SecOps via des certifications et des cours de formation.