Sur les 31 spécialités médicales reconnues au Journal officiel, 16 font l'objet de réponses possibles par la télémédecine, relève la société Linkidoc dans son Observatoire des solutions de télémédecine.
Pour la deuxième année consécutive, la société Linkidoc étudie les grandes tendances technologiques et médicales concernant les outils dédiés à la télémédecine.
La télémédecine s'étend sur de plus en plus de domaines médicaux, mais les solutions technologiques se concentrent fortement sur un petit nombre d'entre eux, selon la deuxième édition de l'Observatoire des solutions de télémédecine diffusé le 18 février par la société Linkidoc.
Le cabinet de conseil Linkidoc a passé en revue les solutions de télémédecine proposées un peu partout dans le monde. Son constat ? Le numérique en matière de santé ne touche pas encore tous les secteurs.
Capteurs connectés, logiciels d’aide au diagnostic, systèmes robotisés… Les outils de télémédecine se démocratisent, notamment pour diagnostiquer, comprendre et traiter des maladies chroniques, mieux gérer les hospitalisations à domicile ou répondre à des problématiques de désert médical.
Le cabinet de conseil Linkidoc vient de publier la deuxième édition de son rapport sur les tendances en la matière, en se basant sur le contenu de Link-e-doc, son moteur de recherche des solutions e-santé. Principal constat ? Si certaines disciplines comme le dentaire, la gastroentérologie ou la réanimation comptent encore très peu de dispositifs numériques de télémédecine, la cardiologie ou la médecine générale bénéficient d’un grand choix d’outils, notamment grâce au boom des appareils de mesures connectés, de plus en plus miniaturisés, évolués et performants.
La société Linkidoc, qui propose des études de marché, des formations et de l’accompagnement de projets pilotes de télémédecine, a publié une étude sectorielle intitulée "Horizons de la médecine connectée en France : cibles, technologies, marchés".